Un ange parti trop tôt !


Ferme ta gueule Mbappé !

Voilà, c'est dit. Maintenant passons à une analyse des choses plus sérieuse.
Imaginez que vous vivez dans un pays où on a le droit de rouler en voiture à 17 ans sans permis, sans assurance, et de ne pas obtempérer quand vous êtes contrôlé par la police. Bien sûr je plaisante. Mais imaginez quand même. Un tel pays ne pourrait pas exister n'est-ce pas ? Pas sûr... Depuis quelques jours maintenant, la gauche enrage à la télévision et sur les réseaux sociaux de la mort d'un jeune délinquant abattu par un policier dans l'exercice de ses fonctions.

S'il a eu de bonnes raisons de le faire, alors il mérite d'être félicité pour son courage. Nous verrons quelles conclusions la justice en tirera. Mais tout cela s'est produit dans le courant de l'action, non pas de sang froid, mais de sang chaud. La police a le droit et le devoir d'arrêter un conducteur lorsque la conduite d'un véhicule après avoir refusé d'obtempérer pourrait constituer un danger pour des tiers en vol. La version du policier mis en cause est qu'il a visé la jambe. Le conducteur a démarré le véhicule, faisant se loger la balle plus haut.

En ce sens, ce qui s'est passé avant la vidéo et ce qui aurait pu se passer après est également pertinent. Nahel a reçu l'ordre de couper le moteur de son véhicule. Il venait de rouler à grande vitesse mettant en danger la vie d'un cycliste et d'un piéton, et s'apprêtait à repartir. Son refus témoigne d'une réalité notoire : On se rend souvent compte que les policiers ont généralement peur de tirer, ce qui est réel.

Ce fut une tragédie pour lui, mais un accrochage avec la police et une conduite dangereuse ont mis fin à sa vie. Aussi, ce n'est pas un pauvre gosse apeuré : Refuse d'obéir, bien connu des services de police, roule dangereusement sans permis à 17 ans, roule une mercedes AMG valant plus de 50 000 €, et plus.
A noter qu'après le meurtre de Lola et l'attaque d'Annecy, il n'y a pas eu de médiathèque, d'école, de tramways, de commissariat ou de caserne de pompiers incendiés, de flics innocents agressés, attaqués au mortier, aux armes à feu, de ministre de la Justice qui a refusé de parler de récupération politique, de minute de silence à l'Assemblée nationale, etc.
Mélenchon et ses adjoints ont rejeté les appels au calme. Certains affirment que "la fin justifie les moyens". C'est irresponsable et dangereux. Nous sommes sur les barils de poudre, et ils craquent des allumettes.

Dans les années 1990, il y avait un millier d'incidents de refus d'obtempérer par an. Aujourd'hui, il y en a plus de 30 000. Ces chiffres démontrent la sauvagerie à laquelle les policiers doivent faire face dans des situations souvent difficiles et dangereuses.
Les défenseurs de la racaille persistent tant bien que mal à essayer de rattraper le coup : "Mais il n'avait qu'à tirer sur les pneus !" El famoso "yakafocon"... Alors non mes amis gauchistes. Est-ce qu'un pneu crevé arrête un véhicule ? Bien évidemment que non. Si vous ratez le pneu, vous avez une balle mortelle qui pourrait ricocher et finir sa course dans un innocent (ce qui s'est déjà produit par le passé). Est-ce un risque acceptable ? Par ailleurs si vous tirez sur le pneu, la légitime défense n'est pas légalement défendable dans un tribunal pour la simple raison que vous n'avez pas tiré sur la source de la menace.

Le policier en question a 20 ans de service à son actif. Son dossier est impeccable avec de multiples citations, et cerise sur le gâteau il est issu de l'immigration.
Nahel quand à lui était en fuite depuis plus de 30 minutes (avec vidéo), a refusé d'obéir à deux reprises, a failli écraser des piétons et des cyclistes, a enfreint le code de la route à plusieurs reprises et n'a été immobilisé que par les embouteillages. Il est aussi très défavorablement connu des services de police. La question est de l'ordre du quantique : Imaginez qu'il redémarre en trombe et continue sa course dans la ville telle que décrite dans les rapports (feux rouge grillé, voie de bus, cycliste et piéton frôlé) parce que personne n'a rien fait pour l'en empêcher, et qu'il tue quelqu'un. Ce qui est, vous le concevrez, fortement probable. A qui revient la faute ? On dira que ce n’est pas de chance pour le piéton ? Un simple accident de la route ? Malheureux hasard ? Un décès à classer en "pertes et profits" ? Certes on ne peut pas savoir si la timeline "on le laisse partir" débouche sur un meurtre (car oui rouler comme il le fait en ville avec 420 chevaux sous la pédale c'est une tentative de meurtre). On ne le saura jamais. Mais en attendant, aucun innocent n'est mort ce jour là.

Compte tenu des circonstances aggravantes, il fallait arrêter cet assassin potentiel. D'une manière ou d'une autre. Et si cela signifie lui mettre une balle dans la tête, tant pis.
Le reste n'est que fable, des criminels qui s'automutilent, des ordures de gauche qui expriment leurs opinions, et des politiciens trouillards qui vont se coucher et ordonnent aux juges de lui mettre le maximum.

Ces sous-merdes de politiciens n'hésitent pas à jouer les brutes avec les gilets jaunes (qui se sont fait massacré au LBD), tout en donnant des consignes pour que les émeutiers ne soient pas blessés... Faibles avec les forts, forts avec les faibles, ce sont des larves indignent de diriger le pays.
Le message est que nous avons deux classes de citoyens : Les travailleurs qui sont condamnés comme esclaves et volés par les dirigeants, les consommateurs qui doivent se taire ou manger du LBD, et se faire trancher la gorge en silence. D'autre part, une classe inutile parasitant la classe ouvrière, habilitée à commettre tous les crimes avec l'appui de la bourgeoisie gauchiste, qu'il ne faut surtout jamais pointer du doigt.

Fort heureusement, les français ne sont pas dupes. Du moins beaucoup moins naïfs et manipulables qu'avant (on peut saluer l'énorme travail salutaire des lanceurs d'alerte comme Damien Rieu et bien d'autres). J'en prends pour preuve la cagnotte lancée par Jean Messiha il y a quelques jours pour soutenir la famille du policier. C'est révélateur. Un million d'euros à l'heure où j'écris ces lignes. Nous ne sommes plus du tout sur un montant censé aider cette famille. C'est un message envoyé par la population. Un cri lancé dans le silence du désert. Les gens le félicitent. Le message est le suivant : "Débarrassez-nous de la racaille, et on vous soutiendra !"
C'est très bien. Moi-même je n'arrive pas à y croire. Bien sûr c'est une victoire modeste à côté de tous les français tués par la racaille allogène, mais toute victoire est bonne à prendre. Tout raz-de-marée commence par une vaguelette.


03 juillet 2023




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